6.
La Balle Empoisonnée,
1925
La Balle Empoisonnée,
1925
Ici, on suppose la photographie comme étant au cœur de notre représentation, la considérant comme un élément à la fois fondamental et éphémère de notre propre figuration. On souligne la précarité du médium et du discours, évoquant aux prémices des archives photographiques abandonnées, souvent sans auteurs ni signatures, ces images témoignant de la fragilité de l'existence de ces personnes. C’est une interrogation sur la portée persistante et éphémère de l'image après sa production, soulignant la relation des Humains avec les photographies, les considérant parfois comme une matière vivante. La photographie se renouvelle au-delà de l'image, trouvant sa vitalité dans la matière, au-delà de son obsolescence à la fin du XXe siècle. Les avancées technologiques ont profondément impacté la diffusion des images, entraînant leurs surabondances et remettant en question leurs durabilités. Cela interroge la pertinence de produire des images ainsi que l’importance de leur pérennité. Ces réflexions sur l’évolution et la durabilité constituent des enjeux majeurs auxquels la photographie est confrontée.
6. La Balle Empoisonnée, 1925.
Février 2024, 72 pages, 18x23
Février 2024, 72 pages, 18x23

















